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Recherche par lecteur : Philippe Diserens

142 résultats. Page 6 sur 8.

Durée : 7h. 48min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 16373
Résumé:Un homme écrit à la femme qu'il n'a pas encore rencontrée, il lui parle de ses voyages : de l'Amazonie au Cambodge en passant par le Chili, l'Indonésie ou Djibouti, il décrit des paysages et des vies quotidiennes. A ses retours à Paris, où il cherche encore cette inconnue, il parle de ses expériences sur des tournages de film ou au théâtre.
Durée : 2h. 45min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 16185
Résumé:Comment arriver à vendre de l'eau en bouteille à mille fois le prix de celle qui coule pour presque rien du robinet ? Comment réussir à faire croire que l'eau de la distribution n'est pas potable ? Et comment prétendre que l'eau en bouteille possède des propriétés miraculeuses ? Telles sont les questions soulevées par ce qui est l'une des plus grandes escroqueries commerciales de notre époque. L'eau en bouteille n'est pas meilleure que l'eau de la distribution publique. Elle est même souvent de moins bonne qualité, car les bouteilles en PET chargent l'eau d'impuretés et le transport d'une eau stagnante fait proliférer les germes. Par-dessus le marché, chaque litre d'eau en bouteille entraîne la consommation d'un demi-litre de pétrole. Dans le même temps, un milliard d'hommes n'ont pas accès à l'eau potable...
Durée : 3h. 5min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 16166
Résumé:Un artiste du vingtième siècle raconte sa vie ou plutôt sa vie rêvée. Il aurait influencé tous les artistes du siècle et créé les mouvements artistiques ou les idéologies qui ont fait la richesse ou les malheurs du siècle. Des "rencontres" sont particulièrement truculentes celles avec Mondrian, Gide ou Proust. A la fin du livre se trouve un index de tous les noms cités ce qui fait supposer que le livre est issu d'un pari du genre "chiche de citer un maximum d'artiste dans un livre qui ne soit pas un dictionnaire".
Durée : 7h. 58min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 16147
Résumé:1609. Rachid al-Kenzy est un esclave à la peau sombre qui, par les hasards de la vie, est allé à l'école. "Un privilège auquel sa naissance ne lui donnait pas droit." Emprisonné mais protégé malgré tout pour ses connaissances et son bon sens, Rachid se voit missionné par le deil d'Alger. Il doit rapporter du Danemark un télescope "qui permet de voir des choses qui sont à une distance de plus d'une journée de cheval". Tel un véritable roman d'aventures, ce récit se joue en plusieurs temps, amorçant des retours, des avancées, des traversées, décrivant une quête spirituelle et matérielle à la fois.
Durée : 6h. 33min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 16042
Résumé:Sur fond de post-Révolution des Oeillets, deux couples improbables nous entraînent de Lisbonne à l'Alentejo, dessinant ainsi un ballet aussi cruel qu'hilarant. Sur un ton burlesque et anecdotique, ce récit brosse un portrait satirique et pessimiste du Portugal contemporain. La décrépitude de ces deux colonels en retraite et de leurs épouses emblématise une décadence globale qui ne touche d'ailleurs pas seulement le Finisterrae européen. La piscine qu'ils construisent dans une région subdésertique pour ne pas s'y baigner constitue dès lors le refuge d'un passé sans cesse évoqué et regretté, mais aussi d'un présent lourd de compromissions qu'effraient les excès d'une modernité prise pour cible par un narrateur ludique et incisif.
Durée : 9h. 38min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 16142
Résumé:Après Le Café du Pont, la suite des mémoires de Pierre Perret. À la fin du Café du Pont, Pierre Perret nous avait laissés lors de sa « montée à Paris ». Il nous conte ici la suite de ses aventures, ses années « baignées de chansons », depuis son arrivée en 1954 dans la capitale jusqu'en 1976, où Le Zizi l'a définitivement consacré. C'est plus de vingt ans d'une vie exceptionnelle qu'il nous confie ainsi, avec nombre d'anecdotes inédites, des années émaillées de rencontres extraordinaires, de Georges Brassens à Jacques Brel, sans oublier Paul Léautaud...
Durée : 1h. 9min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 16238
Résumé:L'histoire racontée de façon linéaire est simple : un appelé du contingent demande à son supérieur hiérarchique-lui aussi appelé- de lui éviter le départ en Algérie, synonyme de guerre et de mort (on est entre 1958 et 1962). Grâce à l'utilisation systématique de figures de réthorique, ce récit devient drôle, voire loufoque, bizarre, extravagant, excentrique. Les mots semblent se détourner de leur sens et acquérir une vie propre.
Durée : 2h. 7min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 16092
Résumé:Mathilde Cazenave agonise dans un pavillon isolé à la suite d'une fausse couche, veillée par son mari Fernand et sa belle-mère Félicité. Ce drame révèle les tensions qui empoisonnent la famille : le désir maladif que Félicité a toujours éprouvé de garder pour elle seule son fils quinquagénaire, l'hostilité larvée vis-à-vis de sa bru, l'ambivalence des sentiments de Fernand pour cette mère possessive. Une servante, Marie de Lados, assiste à la crise, aidant de son mieux la malade et son entourage. Esprit libre et critique, Mathilde ne s'est jamais laissée totalement enfermer dans ce piège familial. Sa mort entraîne le désespoir de Fernand, qui reproche à sa mère de l'avoir tuée...
Durée : 2h. 7min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 16536
Résumé:Pangbourne Village est un enclos résidentiel de luxe près de Londres, où une dizaine de familles aisées - directeurs généraux, financiers, magnats de la télé - vivent en parfaite harmonie et sécurité. Jusqu'au jour où l'on découvre que tous les enfants viennent d'être kidnappés et leurs parents sauvagement massacrés. Deux mois après les faits, les enlèvements ne sont toujours pas revendiqués. Les enquêteurs sont dans l'impasse. Impuissants, ils se repassent avec effarement la vidéo tournée sur la scène du crime. La froideur méticuleuse des assassinats ajoute à l'impression d'être en présence d'une tuerie hors norme. La police décide de faire appel à un psychiatre, le docteur Richard Greville, pour reprendre l'enquête. Dans ce bref roman magistral - qui rappelle le formidable auteur de nouvelles qu'il est par ailleurs - J.G. Ballard explore les conséquences extrêmes de la logique ultra-sécuritaire...
Durée : 1h. 48min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 15975
Résumé:" Courir le guilledou - Faire la sainte Nitouche - En baver des ronds de chapeau - Se monter le bourrichon - En avoir sa claque - Changer de crèmerie - Laisser pisser le mérinos... Nées pour la plupart de la verve populaire, les expressions ont de la couleur, de la saveur, de la tchatche, de l'humour, de la drôlerie, de la cruauté, de la sagesse, de la poésie. Pourtant, certaines vieillissent, passent de mode, paraissent de plus en plus énigmatiques...
Durée : 1h. 38min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 15889
Résumé:Les livres sacrés et les rites des grandes religions du monde entretiennent d'étroites relations avec les boissons fermentées. L'euphorie voire l'ivresse qu'elles procurent sont réputées favoriser l'accès au divin - seuls les musulmans doivent attendre le paradis pour jouir de leurs bienfaits. Vin, bière, saké, pulque, vin de palme sont au coeur des cultures animiste, polythéiste, chrétienne ou bouddhiste. L'Eucharistie, qui invite les fidèles à communier au sang du Christ sous les apparences du vin, est à l'origine de la diffusion mondiale de la vigne jusqu'à l'équateur et aux confins du cercle polaire. L'histoire et la géographie des boissons fermentées sont intimement liées à celles des civilisations. C'est à ce titre qu'elles intéressent tout un chacun, croyant ou non, oenophile ou non.
Durée : 10h. 28min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15986
Résumé:Tout avait pourtant débuté comme un conte de fées moderne : un grand reporter de guerre rencontre à Kaboul une journaliste américaine et commence à écrire un best-seller. De retour à Londres, après un dîner en ville où il a donné une définition très personnelle de la guerre, il a démissionné de son journal, est parti pour New York en première classe, sans bagages, en veste de lin noir, signer son contrat d'édition puis rechercher l'insaisissable Astrid, et il s'est retrouvé sur les territoires les plus sombres de l'imagination. La descente a vraiment commencé lorsqu'il a appris que la grande maison d'édition avait été rachetée, que son contrat ne serait jamais signé, qu'Astrid habitait à la campagne, à l'autre bout du pays, et que la neige s'est mise à tomber sur sa vie brûlée et son compte en banque à sec.
Durée : 4h. 42min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 15820
Résumé:En creusant un peu, l'Histoire révèle de surprenants recoupements. Ainsi, l'élimination d'Ignace Reiss est attribuée au SMERSH, avec lequel James Bond aura beaucoup de problèmes de voisinage 20 ans plus tard. Le SMERSH est un service créé par l'immonde Yagoda (ne pas confondre avec Yoda, le chevalier Jedi) pour se débarasser des espions/opposants/débiteurs/créanciers/etc. Le malfaisant personnage sera à son tour éliminé par son successeur, qui sera éliminé par son successeur, lui-même éliminé par... Le meurtre d'Ignace Reiss sera un facteur déclenchant de l'interdiction du Parti Communiste dans plusieurs cantons suisses (1938 pour Vaud). Les Communistes indignés (pas par les meurtres, mais par cette décision issue des urnes de façon démocratique) font recours au Tribunal fédéral, où ils sont reçus fraîchement. Mais pas par le septième juge, seul à se dire prêt à accepter leur recours. Et celui-ci n'est autre qu'Eugen Blocher, grand-oncle de Christoph. Tirez-en les conclusions que vous voudrez.
Durée : 7h.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 15722
Résumé:Troublant, diabolique même ce manuscrit qu'Alexandre Astrid reçoit par la poste ! Le titre : Garden of love. L'auteur : anonyme. Une provocation pour ce flic sur la touche, à la dérive, mais pas idiot pour autant. Il comprend vite qu'il s'agit là de sa propre vie. Dévoyée. Dévoilée. Détruite. Voilà soudain Astrid renvoyé à ses plus douloureux et violents vertiges. Car l'auteur du texte brouille les pistes. Avec tant de perversion que s'ouvre un subtil jeu de manipulations, de peurs et de pleurs.
Durée : 7h. 8min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15803
Résumé:Clément Duprest, brillant étudiant en droit, intègre la police nationale en 1942. Contrairement à certains de ses collègues, Duprest ne 'fait pas de politique' : il va se contenter de mettre au service de ses patrons son intelligence et son sens de l'observation. Au sein de la 'brigade des propos alarmistes', il est chargé de repérer et de neutraliser les individus hostiles à Vichy... Ainsi commence la longue carrière d'un fonctionnaire que certains diraient irréprochable. Duprest sera mêlé, au cours de sa vie, à nombre d'événements qui ont marqué la chronique.
Durée : 8h. 20min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 15597
Résumé:Un jour de mai 1627, le capitaine Alatriste et Iñigo Balboa, qui a maintenant dix-sept ans, naviguent toutes voiles dehors sur la Mulâtre, une galère espagnole servant d'escorte à des navires marchands. Ils sont à la poursuite d'une galiote barbaresque. L'abordage est sanglant. Escales et aventures à Alger, à Malte, à Naples, où règnent des ruffians en tous genres, et surtout batailles navales spectaculaires.
Durée : 8h. 25min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 15419
Résumé:Un jeune Suisse affamé de voyages entame, à 19 ans, sa découverte du monde. Qui s'étonnerait ? Il n'est pas le premier, dans ce pays où l'on sait franchir les montagnes, à choisir l'option sac à dos. Avant lui Thomas Platter, Jean-Louis Burckhardt, ou, plus proche, Jean-Jacques Rousseau, Blaise Cendrars... ont ainsi tracé leur chemin d'écrivains. De ses équipées audacieuses, au Grand Nord, au Japon ou sur les routes d'Orient avec son ami, son double, le peintre Thierry Vernet, on sait ce qu'il rapporta : des récits étincelants, devenus cultes pour leur valeur initiatique, concentrés d'observations ethnographiques mais aussi de réflexions philosophiques et d'anecdotes picaresques. (la-Croix.com)
Durée : 8h. 39min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15508
Résumé:Que se passe-t-il dans la tête d'un scientifique britannique tout à fait comblé - sa femme vient de lui offrir une brosse à dents électrique pour leurs vingt ans de mariage - quand un cheik yéménite lui demande de construire une rivière climatisée afin qu'il s'adonne à son sport favori...
Durée : 6h. 23min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15186
Résumé:Le grand voyage, roman publié en 1963. Dans ce récit qui mêle éléments autobiographiques et fiction, Semprun raconte son transfert en train entre Compiègne et Buchenwald. C'est un livre fort, dans lequel l'auteur livre des clés qui transcendent son expérience. Je relèverais trois phrases emblématiques. «Les morts? Ils ont besoin que nous vivions; que nous vivions de toutes nos forces.» Face au tragique de l'existence, Semprun nous dit que notre attitude doit être celle de la recherche de la vie, de la lumière, coûte que coûte. «Un beau livre, c'est un livre utile, qui aide à vivre» : Le grand voyage est sans aucun doute un de ces livres utiles. Un livre qui aide à prendre les bons tournants dans la vie. Je le conseillerais particulièrement aux étudiants. Je relèverais enfin une phrase qui contient toute la vie de Semprun : «Le bonheur fugitif qu'on peut trouver en étant en accord avec soi-même.» La vie, nous dit Semprun, se situe dans la prise de risque. Le risque que nous devons prendre pour accéder à la liberté. (Valérie Rosoux, Université catholique de Louvain)
Durée : 6h. 24min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15448
Résumé:"Les familles heureuses se ressemblent toutes; les familles malheureuses sont malheureuses chacune à sa manière", cette première phrase d'"Anna Karénine" aurait pu servir d'exergue au "Dernier communiste". Une histoire de famille précisément, celle de nouveaux russes, de nouveaux riches, les Petchonkine, dont le fils unique, après des études en Suisse, revient dans sa ville natale où tout apartient à ses parents. Mais à l'instar du prince Mychkine, l'Idiot, le digne héritier se conduit étrangement et va jusqu'à fonder la NOC, la Nouvelle Organisation des Communistes dans laquelle il embrigade une mulâtre baptisée Angela Davis et un Coréen nommé Kim. Heureusement, la police veille, et comme souvent en Russie, elle manipule les trop naïfs révolutionnaires jusqu'à provoquer un faux attentat. Ce roman haletant, qui brosse le tableau le plus actuel et le plus véridique de la Russie post-comuniste, est aussi un exercice littéraire qui entend renouer avec les grands prédécesseurs.